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A la poursuite de Bashô
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Commentaires
2lilianeLundi 13 Avril 2015 à 16:13Vraie grenouille, qui berce le zazen du soir et vrai étang, ou plutôt vraie marre.
Joli haïku et joli titre, pour les initiés...
3marianneLundi 13 Avril 2015 à 21:16C'est un clin d’œil à Bashô et son célèbre haïku fondateur, mais aussi un moment réellement vécu. Pour un pratiquant de la Voie du Zen, c'est aussi le koan de "mushotoku", sans esprit de profit, sans attente.
9marianneMercredi 15 Avril 2015 à 15:57mushotoku, dis-tu,? cela m'a étonnée... j'ai relu une traduction du poème.
vieil étang
une grenouille y plonge
le bruit de l'eau
et puis j'ai compris que tu parlais de mushotoku
à propos du joli haiku ci-dessus, et pas de celui de Basho !
ah, ne rien attendre, prendre les choses comme elles viennent....
seulement, seulement, parfois, il vient l'idée que ce serait faisable et bien de les changer !
(au passage, j'ai trouvé cette drôle d'image)
http://derives.free.fr/image%2014/ve24heures1.gif
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Métaphoriquement parlant, ou bien vraie situation vécue avec une vraie grenouille?
Qui sait, elle a peut-être peur de l'eau?